Frédéric Gaillard réalise des sculptures et des installations qui allient la science et l’art, entre désinvolture et humour décapant.

La science intriguante de Frédéric Gaillard désormais en ligne !

[…] Derrière ces machines agitées, secouées par des décharges électriques, point une forme de questionnement existentiel. Derrière le mouvement des installations de Frédéric Gaillard, au-delà de leur animation joyeuse, de la féerie faussement enfantine qui semble les gagner, se dessine la conscience de l’inéluctable fin qui guette tout organisme vivant. La comédie ludique dissimule le théâtre tragique. En ce sens, on peut percevoir les uvres de Frédéric Gaillard comme des vanitas : chaque naissance est une proie inévitable pour la mort. Autant le savoir, histoire de prendre ses dispositions […] ».

Pierre-Olivier Rollin, texte de présentation de l’exposition « Instants fragiles, Passage de Retz, Paris (2002).

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Il a été publié le vendredi 13 juillet 2007  à 1:41  et est classé dans Art, Installations. Vous pouvez en suivre les commentaires par le biais du flux RSS 2.0. Vous pouvez laisser un commentaire, ou faire un trackback depuis votre propre site.