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Le HTML (ou HyperText Markup Language) est un langage chargé de mettre en forme des documents à l'aide de balises de formatage. Il permet la lecture de documents sur Internet à partir de machines différentes grâce au protocole HTTP, gérant l'accès via le réseau à des pages web désignées par une adresse unique, appelée URL (Uniform Resource Locator).
Voir une première page d'essai
ou consultez le code source de cette page (Affichage > Source ou Code Source). Les visiteurs progressent à l'aide d'un navigateur parmi les pages HTML, liées entre elles par des liens hypertextes: au sein d'un document, un mot ou un élément graphique permet de plonger vers un autre emplacement, offrant la possibilité de circuler de multiples façons parmi des informations de toute nature. Le langage HTML est un standard établi par les recommandations publiées par un consortium international: le World Wide Web Consortium (W3C). Les balises HTML structurent un contenu mais ne sont pas initialement destinée à la mise en page proprement dite d'un document. C’est pourquoi les designers web ont rapidement détourné le HTML de sa fonction première pour qu’il réponde davantage à leurs désirs de contrôle graphique des éléments. C’est ainsi, par exemple, que les images sont souvent utilisées à la place de contenus textuels, ou que les tableaux sont d’une manière générale employés à des fins de mise en page. Bien qu’encore très courante, cette approche est amenée à disparaître au profit de l’utilisation des CSS (Cascading Style Sheets) ou feuilles de style "en cascade". Le couple HTML/CSS offre à présent une solution idéale pour un meilleur contrôle du comportement graphique d'une page. Notez également que les pages HTML, qui sont aujourd’hui le système de base d’Internet, peuvent inclure du texte, des images fixes ou animées, mais servent aussi de support à une multitude d’autres langages (ASP, Java, Javascript, MySQL, Perl, etc.) ou de technologies propriétaires (Flash, Shockwave, Quicktime, Windows Media Player, Real, moteurs de rendu 3D etc.) qui mettent à disposition du concepteur et de l’internaute des fonctionnalités très diverses. La nouvelle version du HTML s'appelle le XHTML (EXtensible HyperText Markup Language). Il s'agit d'une version plus stricte et plus précise du HTML répondant aux nouvelles conditions de consultation des pages (mobiles et autre machinettes digitales). Le HTML est donc en voie de disparition ! Historiquement, le HTML a été pressenti en 1945 par Vannevar Bush (chercheur au MIT) dans son article visionnaire As we may think décrivant la consulation de contenus grâce à des "liens". L'hypertexte sera développé par Ted Nelson, puis surtout par Douglas Engelbart. Le 9 décembre 1968, Douglas Engelbart et ses 17 collaborateurs de l'Institut de Recherche de Stanford présentent une étonnante démonstration de leur système hypertextuel, le NLS (oN Line System). Douglas y manipule un fichier graphique doté de liens hypertextes, cliquant sur un lien pour accéder à une autre information. Douglas Engelbart a largement contribué à développer le système hypertexte et sa relation à l'image: il est l'inventeur de la souris ! ![]() ![]() Il developpa et mis au point le HTML et le protocole http (HyperText Transfer Protocol) dès 1989 au CERN. Il annonça officiellement la création du web sur Usenet en août 1991. Tim Berners-Lee est le directeur du W3 (World Wide Web Consortium). La connaissance du HTML ne constitue cependant pas un préalable pour composer des pages web. Des logiciels WYSIWYG ("What You See Is What You Get") tels que NVu (logiciel libre) Dreamweaver ou Golive transposent vos choix graphiques en HTML ou DHTML (Dynamic HTML, mélange de HTML, de javascripts et de CSS). Vous vous familiariserez à la longue avec les balises, ce qui vous permettra d'agir directement et plus strictement dans le code de vos pages et de corriger les erreurs pondues par les éditeurs (car il y en a...) Il faut bien comprendre qu'un site peut être entièremment réalisé à l'aide d'un éditeur de texte ou de code comme TexEdit (Mac OSX), Notepad ou Notepad ++ (Windows). En effet, écrire du code HTML n'en demande pas plus, puisque les pages peuvent ensuite être exécutées et vérifiées à l'aide d'un navigateur. Certains webdesigner préfèrent cette solution, reprochant à Dreamweaver de produire un code douteux, ce qui n'est pas faux. Tôt ou tard, il s'avèrera indispensable de coder soi-même. ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() ![]() |
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